L'Assemblée générale des Nations Unies a adopté mardi après-midi une résolution exigeant un "cessez-le-feu humanitaire immédiat" à Gaza.
Les Etats membres ont rejeté deux amendements faisant spécifiquement référence au "groupe extrémiste Hamas", 153 soutenant le projet de résolution, dix s'y opposant et 23 pays s'abstenant.
Cette résolution exige un "cessez-le-feu humanitaire immédiat", la libération immédiate et inconditionnelle de tous les otages, et "la garantie d'un accès humanitaire".
La session de mardi est la continuation de la dixième session extraordinaire d'urgence de l'Assemblée générale des Nations Unies qui s'est réunie le 26 octobre pendant la crise actuelle à Gaza, au cours de laquelle elle a adopté une résolution appelant à une "trêve humanitaire immédiate, durable et soutenue conduisant à la cessation des hostilités".
L'Assemblée générale des Nations Unies compte 193 Etats membres. Une majorité des deux tiers est requise pour l'adoption d'une résolution.
Dans sa déclaration prononcée lors de la session extraordinaire, le président de l'Assemblée générale, Dennis Francis, a souligné l'urgence de mettre fin aux souffrances des civils innocents.
Il a réitéré la demande d'un cessez-le-feu humanitaire immédiat.
"Nous avons une seule et unique priorité : sauver des vies", a-t-il souligné. "Arrêtez cette violence maintenant."
M. Francis a affirmé que le monde était en train d'assister à un "effondrement sans précédent" d'un système humanitaire "en temps réel". L'ONU doit mettre fin immédiatement aux souffrances des civils, a-t-il souligné.
Il est grand temps pour un "cessez-le-feu humanitaire immédiat", selon lui.
Source : Xinhua
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Mon analyse personnelle sur le projet de constitution :
A prime abord, on remarquera que la constitution n’est pas nouvelle car elle ne met pas sur pied une nouvelle république mais elle se contente de modifier la constitution actuelle en y ajoutant d’autres institutions.
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